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Le 15 mai 2025, setec organisation a réuni pour la première fois son comité de mission, marquant une nouvelle étape dans son engagement en tant que société à mission. Cette réunion fondatrice s’inscrit dans la continuité du statut officiellement adopté par l’entreprise il y a quelques mois.
Un comité pour ancrer la mission dans l’action
La mission de ce comité est claire : garantir que les engagements sociaux et environnementaux de l’entreprise se traduisent en actions concrètes, mesurables et durables. Il aura notamment pour rôle de suivre l’évolution des objectifs fixés à l’horizon 2030 et d’élaborer une feuille de route pour 2025.
Composé de profils complémentaires, ce comité réunit :
Une expertise externe reconnue
Laurent Delcayrou, président du comité, est chef de projet « Stratégies de résilience des territoires » au sein du think tank The Shift Project. Son regard indépendant et expert apporte un éclairage précieux sur les enjeux de transition.
Une représentation du groupe setec
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Valérie Bernhardt, Directrice de la structuration du groupe
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Daniela Burla, Directrice RSE du groupe
Des collaborateurs engagés de setec organisation
Sélectionnés pour leur motivation et leur diversité de profils, ces membres incarnent les métiers, territoires et parcours de l’entreprise :
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Léna Dos, Chargée de projet – Nantes, Direction Villes & Territoires
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Antoine Legrand, Chef de projet – Bordeaux, Direction Sud-Ouest
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Pierre-Louis Ducarre, Chef de projet – Lyon, Direction Centre-Est
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Dorothée Rosenzwey, Directrice de projet – Paris, Direction Infrastructures & Mobilités
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Néville Williame, Directeur de projet – Marseille, Direction Sud-Est
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Luc Stanescou, Directeur de projet – Paris, Direction Bâtiment et Immobilier
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En attente de l’arrivée de la future Responsable QRSE, Gabriel Sanchez, Secrétaire Général, assure l’intérim de cette fonction.
Une gouvernance engagée et évolutive
Cette première réunion a permis de poser les fondations d’une gouvernance claire, participative et mobilisatrice. Les travaux à venir porteront sur l’élaboration d’indicateurs de suivi, la rédaction d’un rapport annuel de mission, et la préparation d’un audit indépendant prévu d’ici à deux ans pour attester de la sincérité de la démarche.
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